En colla­bo­ra­tion avec #WeAreAl­lU­krai­nians ainsi que d’autres parte­naires et spon­sors, @fire - Inter­na­tio­nale Katas­tro­phen­schutz e.V. a pu remettre les premiers véhi­cules de pompiers et de secours aux corps de sapeurs-pompiers de Kiev au cours du week-end.

Lors d’un premier convoi d’aide, un camion citerne 16/24 des pompiers de Hude, un camion incen­die 8 des pompiers de Neckar­gemünd, une échelle pivo­tante avec nacelle des pompiers de Pfarr­kir­chen ainsi que des dons de maté­riel des pompiers de Nossen ont été remis aux repré­sen­tants de la ville de Kyiv et des services de secours ukrai­niens à la fron­tière entre la Pologne et l’Ukraine.

De plus, les pompiers de Bergisch Glad­bach se sont joints à notre convoi avec une ambu­lance et du maté­riel de secours qu’ils ont remis à leur ville jumelle ukrainienne.

La guerre en Ukraine a détruit ou endom­magé un nombre incal­cu­lable de camions de pompiers et de casernes. Le State Emer­gency Service, qui four­nit les forces d’in­ter­ven­tion primaires en Ukraine, a donc un grand besoin d’équi­pe­ments et de véhi­cules pour l’as­sis­tance tech­nique, la lutte contre les incen­dies et les soins médicaux.

En raison des besoins sur place et des nombreuses autres offres de véhi­cules et de maté­riel de secours que nous rece­vons de la part des pompiers et des orga­ni­sa­tions huma­ni­taires, au moins deux autres convois d’aide à la fron­tière polono-ukrai­nienne sont en préparation.

D’autres offres de dons dans le domaine de l’équi­pe­ment et des véhi­cules de pompiers peuvent être adres­sées à l’adresse e-mail suivante : Spenden-​Ukraine@​at-​fire.​de

Vous pouvez égale­ment nous soute­nir finan­ciè­re­ment via la plate­forme de dons Better­place : https://​www​.better​place​.org/​d​e​/​p​r​o​j​e​c​t​s​/​1​0​6​626

Afin de garan­tir la sécu­rité de toutes les personnes impli­quées et étant donné que les sapeurs-pompiers en Ukraine sont de plus en plus souvent la cible des agres­seurs, nous renon­çons à donner des détails précis concer­nant le lieu et l’heure.

Nous deman­dons donc égale­ment à tous les béné­voles de renon­cer à toute indi­ca­tion qui permet­trait à des agres­seurs de tirer des conclusions.